Piwaseha - La culture et les réalités autochtones
Description de la formation
La formation Piwaseha (Premières lueurs de l'aube) vise une meilleure compréhension du passé et des réalités d'aujourd’hui afin de mieux intervenir et de démontrer des comportements d'ouverture et d'acceptation quant aux différences culturelles. Elle favorise la prise de conscience des différents obstacles qui nuisent à la communication et aux relations avec les Autochtones.
Objectifs pédagogiques
À la fin de cette formation, le participant sera en mesure de :
- Avoir une meilleure compréhension du passé et des réalités d’aujourd’hui afin de mieux intervenir
- Être capable de démontrer des comportements d’ouverture et d’acceptation quant aux différences culturelles
- Prendre conscience des différents obstacles qui nuisent à la communication et aux relations avec les Autochtones
- Reconnaître l’impact des perceptions négatives sur l’estime de soi chez les Autochtones
- Prendre conscience de ses propres valeurs culturelles et tenir compte de l’identité autochtone dans les rapports interculturels
- Être en mesure de comparer sa propre culture et celle des Autochtones.
Méthodologie
Plusieurs méthodes d’apprentissage et outils didactiques permettant de mesurer le progrès et l’intégration des concepts par les participants sont utilisés tout au long de la formation.
Exposé interactif (45%), étude de cas, discussions en sous-groupes, exercices, auto-évaluation (55%)
Clientèle visée
Tous
- Test de connaissances
- Histoire et informations (Loi sur les Indiens, politique d’assimilation, les fondements de cette politique, les pensionnats, terminologie autochtone, les Autochtones au Québec et quelques caractéristiques, etc.)
- Présentation d’un documentaire : "Après les pensionnats : rebâtir ce que nous sommes"
- Prise de conscience personnelle et professionnelle et mises en situation
- Capsules d’information : Communication interculturelle : Quels sont les obstacles à la communication ? Quoi faire? Comment être?
Témoignages
"La formation m’a permis de mieux comprendre la réalité autochtone et d’en faire un bilan, au moins une base pour démarrer. "
Christian